Face à un régime qui exerce un contrôle serré sur l’appareil d’État angolais et ses ressources, y assoit son hégémonie et cadenasse l’espace civil et politique, une double vague de contestation a vu émerger ces vingt-cinq dernières années des militantismes réformistes, « confrontationnistes » ou révolutionnaires. Leur principale faiblesse commune réside sans doute dans le fossé social et culturel qui les sépare des couches populaires.
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