‘Greater Paris who eats’ are also the signs, symbols, and stories which help us perceive a transition in the food habits of an area and an agriurban metropolisation, and which help sensitise both inhabitants and visitors to a new urban model for a city said to be nourishing, edible and fertile, at the same time giving them a voice in such metropolitan transformations. This article proposes a collective reflection on the processes underpinning the creation of events, cultural heritage, tourism as well as the narratives, which are the basis of the creation of a sustainable metropolis, more specifically an agri-urban one.
Le ‘Grand Paris qui mange’, ce sont aussi des signes, des symboles, des récits qui participent à rendre perceptible un territoire en transition alimentaire, à rendre tangible la métropolisation agriurbaine, à sensibiliser les habitants et les visiteurs à ce nouveau modèle de ville dite nourricière, comestible, fertile mais aussi à leur donner la parole sur ces transformations métropolitaines... Cet article propose ainsi de penser ensemble les processus d’évènementialisation, de patrimonialisation, de mise en tourisme mais aussi de mise en intrigue qui fondent la fabrique d’une métropole durable et plus spécifiquement agri-urbaine.
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