The notion of « novelty » (nouveauté) is omnipresent in Foucault’s work. On the other hand, his construction of the notion of « épistémè » leads him back to an integral rationalism of the classical type, in which philosophy is meant to « understand » the « world » and put an end (as illusory) to all novelty as well to as any event. We inspect the coherence of this double-gesture, and beyond that Foucault’s attachment to a classical figure of philosophy, as rational and virile, which prevented him perhaps, to a certain degree, from appreciating its more contemporary accomplishments.
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La notion de « nouveauté » est omniprésente dans les textes de Foucault. Mais d’un autre côté, sa construction de la notion d’épistémè le reconduit à un rationalisme intégral de type classique, dans lequel la philosophie a pour tâche de « comprendre » le « monde », et de mettre fin (comme illusoire) à toute nouveauté comme à tout étonnement. Nous montrons la cohérence de ce double geste, et à travers cela l’attachement de Foucault à une figure classique de la philosophie, rationnelle et virile, qui l’empêche peut-être, dans une certaine mesure, d’en apprécier les accomplissements les plus contemporains.
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