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Enseignants plus parents pour apprendre à lire

  • Autores: N. P. Criscuolo, Carol Vukelich, Jack Cassidy, J. L. Fils (trad.)
  • Localización: Communication et langages, ISSN 0336-1500, Nº 43, 1979, págs. 20-32
  • Idioma: francés
  • Enlaces
  • Resumen
    • Au Colloque sur la lecture qui s'est tenu en juin au Palais des Congrès, les controverses sur les méthodes d'apprentissage de la lecture ont été nombreuses et passionnées. Mais une question n'a pas été posée : qui doit apprendre à lire aux jeunes enfants ; est-ce encore l'instituteur ? Question provocante et même aberrante penseront des lecteurs de la présente revue. Sans doute, mais en partie seulement, comme en témoignent les trois articles qui suivent, extraits des publications de l'International Reading Association. En effet — et paradoxalement à l'ère de la galaxie de Marconi — le jeune enfant baigne de plus en plus dans un environnement de textes et de typographies : livres scolaires bien sûr, mais surtout journaux, magazines, messages publicitaires postaux, emballages (du produit de lessive jusqu'à la tablette de chocolat), annonces télévisées à la maison ; et affiches à l'extérieur. Mis à part les manuels, toutes ses autres sources de lecture sont hors de l'école. Par ailleurs, il est reconnu que le choix de la méthode est moins important que la qualité du pédagogue ; et que pour ce dernier son comportement affectif est plus important que son comportement purement pédagogique. Mais le lieu privilégié de ce facteur capital, l'affectivité, c'est encore, le plus souvent, la famille. Alors, la solution semble s'imposer et commence à s'imposer aux Etats-Unis, l'apprentissage de la lecture c'est à la fois l'affaire du maître (principalement) mais aussi celle des parents (un peu) ; c'est donc l'affaire et du maître et des parents ; c'est ce qui est traité dans les trois articles qui suivent.


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