Le propre d'un roman de science-fiction est de partir d'un postulat et d'en développer les conséquences. Sur une toile de fond qui correspond à une réalité objective, se greffent la réalité humaine, les actes, les comportements et les réactions psychologiques. Mais, pour achever la peinture de ces deux réalités confondues, il faut accorder une part importante à l'imaginaire. Dans la nouvelle que nous publions ici, François Richaudeau a su allier ces divers éléments en les faisant jouer dans une ville qu'il connaît et qu'il aime, une ville fabuleuse, qui, plus que toute autre, pouvait être le lieu de cette aventure : Venise.
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