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Resumen de L'avenir de la presse féminine

Daniel Toscan du Plantier (entrevistado)

  • Dans un entretien précédent, Daniel Toscan du Plantier, directeur commercial de Régie-Presse, avait exposé son point de vue sur les méthodes propres, selon lui, à tirer la presse de son marasme. Quelques chiffres permettront de mieux apprécier la situation en 1971. La publicité représente en France un peu moins de 1 % du revenu national, contre 2 % en Angleterre, 2,7 % aux U.S.A. et 2,8 % en République fédérale allemande. Si l'on compare les quantités de publicité insérée dans divers journaux pour les mois de janvier 1970 et janvier 1971, on constate des baisses de 14 % pour l'Express, 19 % pour Paris-Match, 25 % pour Jours de France, 8 % pour Elle, 31 % pour Femmes d'aujourd'hui. Si l'on compare les diffusions O.J.D. pour la presse féminine en 1960 et 1970, on s'aperçoit que l'Echo de la Mode passe de 849 629 exemplaires à 612 762, Elle de 653 308 à 542 396, Marie-Claire de 1 021 298 à 676 916, Marie-France de 646 067 à 565 000. En fait, et bien que les sommes dépensées en publicité ne soient pas suffisantes en France, la presse, c'est une évidence, ne peut s'en passer : pour qu'un quotidien de 20 pages puisse se libérer de toute publicité, le numéro devrait être vendu 1,50 F. Le seul problème est de savoir comment vont s'établir les relations entre régies et rédaction d'une part, et comment les services de marketing peuvent fournir aux directeurs de journaux les renseignements qui leur sont indispensables d'autre part. C'est ce qu'explique ici Daniel Toscan du Plantier, qui parle plus spécialement de la presse féminine.


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