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Resumen de MIHARI: networking coastal communities to manage Madagascar’s small-scale fisheries sustainably

Riambatosoa Rakotondrazafy Andriamampandry

  • English

    The past decade has seen a groundswell of interest in community based marine conservation in Madagascar, with locally managed marine areas (LMMAs) being championed at the highest levels of government, and now covering over 12% of Madagascar’s seabed. Given Madagascar’s weak infrastructure, most of the country’s LMMA are located in remote areas, thereby presenting practical barriers to exchange and communication to discuss common challenges. The MIHARI network was created as a means of linking up isolated coastal communities to allow community leaders to share ideas and successful models through peer-to-peer learning, as well as to represent the interests of small-scale fishers at a national level; in particular fisheries policy development. Network members include all LMMA communities and the non-governmental organizations that support them. Government authorities are regularly consulted in the network’s activities. While the network is still only three years old, and in the early stages of development, much progress has already made. For instance, annual learning exchanges between LMMA communities have taken place, culminating in the third national MIHARI forum in October 2015. The past year has also seen the launch of regional forums, of which one was organized in 2014 and four organized in 2015. Priorities going forward are to reinforce the structure and independence of the network, ensure the active participation of communities, and secure sustainable sources of funding for the network over the longterm.

  • français

    Au cours de la dernière décennie, Madagascar a développé un intérêt croissant pour la conservation communautaire des ressources marines. Les Aires Marines Gérées Localement (AMGLs) sont, notamment, soutenues au plus haut niveau par le gouvernement, et couvrent désormais plus de 12% des fonds marins de Madagascar. Compte tenu de la faiblesse des infrastructures du pays, la plupart des AMGLs sont situées dans des régions isolées, rendant ainsi difficile les échanges et la communication relatifs aux défis communs qu’elles rencontrent. Le réseau MIHARI a été créé comme un moyen de connecter les communautés côtières isolées pour permettre à leur dirigeants de partager des idées et des modèles de réussite par l’apprentissage entre pairs, ainsi que pour représenter les intérêts des pêcheurs traditionnels au niveau national ; en particulier dans le cadre du développement de la politique des pêches. Les membres du réseau comprennent toutes les communautés AMGLs et les organisations non gouvernementales qui les soutiennent. Aussi, les autorités gouvernementales sont régulièrement consultées au sujet des activités du réseau. Des progrès significatifs ont déjà été réalisés, alors que le réseau ne date que de trois ans et qu’il n’est qu’aux premières étapes de son développement. Par exemple, des réunions d’échanges annuels d’apprentissage entre les communautés AMGLs ont eu lieu avec, en octobre 2015, le troisième fórum national MIHARI. Au cours des dernières années, des forums régionaux ont également vu le jour, dont l’un organisé en 2014 et quatre en 2015. Les futures priorités sont de renforcer la structure et l’indépendance du réseau, d’assurer la participation active des communautés et d’assurer des sources de financement durables pour le réseau.


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