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Resumen de Usages de la chèvre dans les armées de la Grande Guerre

Jean Noël Passal

  • En temps de paix, en Europe, la chèvre fait majoritairement partie de la basse-cour et donc de l'écnomie féminine. En temps de guerre et plus particulièrement lors de celle de 14-18, quels sont les usages de la gent caprine -vivante ou morte- passée du côté masculin? L'usage symbolique du bouc est ambivalent: positif comme mascotte institutionnelle de régiments canadiens ou britanniques, ou négatif pour personnifier l'ennemi, le "Boche". Mais la multiplication des chèvres adoptées comme mascottes occasionnelles, et ce dans toutes les armées, dépasse le symbolique. La chèvre permet ainsi aux soldats de renouer avec le vivant, avec les animaux de leur ferme, avec le monde familial et féminin, avec la paix; une présence de substitution au sens réel et métaphorique. La deuxième partie de l'étude est consacrée à un phénomène relevant du pittoresque et de l'exceptionnel: l'importation de dizaines de milliers de chèvres afin de subvenir à la nourriture "rituelle" des troupes anglo-indiennes ou "hindoues", tout comme les troupes "indigènes".


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