Francesca Randazzo, Juan R. Coca, Jesús A. Valero Matas
Las palabras no son neutrales, son el reflejo y la construcción de los procesos sociales. "Los viejos", "los ancianos", "los jubilados", "la tercera" o "la cuarta edad" constituyen formas de traducir una manera particular de entender la realidad, con una organización específica. Reflexionar sobre la vejez implica una lectura singular de nuestras sociedades, porque la pregunta posee desde el principio un prejuicio etnocéntrico. Esta es una construcción social que toma cuerpo en un lugar y en un momento preciso, así que tendrá una dimensión histórica y cultural específica, comprometida de manera particular con lo que se considera como realidad. También es un producto ideológico, en el sentido más amplio del término, ya que atañe los intereses de diversos grupos. En contraste con algunos puntos de vista teóricos y empíricos puntuales, exploraremos en este artículo el imaginario social "vejez".
Les mots ne sont pas neutres. Ils traduisent et construisent des processus sociaux. Parler de "vieux", "personnes âgées", "retraités", '3e' ou '4e' âge, constitue des manières de traduire une façon particulière d'appréhender la réalité, impliquant une organisation spécifique. Réfléchir sur la vieillesse implique une lecture singulière de "nos" sociétés, car la question pose dès le début un préjugé ethnocentrique. Il s'agit d'une construction sociale qui a lieu à un endroit et à un moment précis, avec donc une dimension historique et culturelle compromettant une manière particulière d'envisager ce que l'on considère la réalité. C'est, également, un produit idéologique, dans le sens le plus large du terme, car elle compromet les intérêts de groupes divers. En contrastant des points de vue théoriques et empiriques ponctuels nous allons explorer dans cet article des imaginaires sociaux de la "vieillesse ".
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