Le mouvement syndical thaïlandais est faible en termes quantitatifs et qualitatifs. En dépit de parenthèses démocratiques qui ont permis aux travailleurs de s’organiser, les coups d’Etat répétés, la militarisation et les logiques de patronage ont créé un environnement et une culture politiques défavorables à la constitution d’un mouvement fort, légitime, représentatif et autonome.
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