Parmi les paradoxes de la philosophie de Malebranche, on remarque la manière étonnante, pour un philosophe chrétien, avec laquelle il traite la question du plaisir, considéré comme motif premier des déterminations des mouvements de l’âme. En quel sens le plaisir, tel que le sentiment intérieur en découvre la nature, détermine-t-il la réflexion de Malebranche sur la nature et sur la grâce?
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