L'auteur, enseignant-chercheur à l'Université de Paris 8, responsable de la cellule psychologique dédiée aux survivants et descendants de survivants de la Shoah du Centre Georges Devereux, rappelle l'évolution du statut du survivant des camps de concentration dans le corpus psychiatrique, elle remet en cause certains préjugés sur l'usage de la parole et sa fonction dans les familles de survivants, enfin, en s'appuyant sur des vignettes cliniques, elle présente l'intérêt et la singularité de l'approche ethno-psychiatrique.
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