La comparaison entre les processus de transition en Afrique subsaharienne dans les années 1990 et les mouvements du « printemps arabe » depuis 2011, permet de dresser un bilan critique mais nuancé de la « transitologie ». Les enseignements des transitions africaines conduisent à revenir sur les outils de la « transitologie », et spécifiquement le découpage séquentiel et la place et le rôle dévolus aux élections. Il s�agit d�éclairer autrement la lecture proposée du « Printemps arabe ».
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