L'apparition de mesures politiques visant les jeunes SDF coïncide avec la création des appellations comme "jeunes en errance", "jeunes SDF", et le flou des définitions concourt à développer des analyses ethno-centrées, partielles, et à inclure les "zonards" dans des catégories artificielles. L'article cherche à identifier l'impact des définitions et dénominations attribuées par l'extérieur, sur celles propres à ces jeunes. Ainsi par une enquête ethnographique réalisée en collaboration avec des habitants d'un squat, nous tentons de définir les diverses catégories zonardes telles qu'ils les présentent.
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