L'hypothèse selon laquelle la structure iconographique des arts rupestres diffère profondément, en termes de fréquences des motifs animaliers et de leur distribution dans les sites, en fonction de l'organisation socio-économique et du type de croyances est examinée à l'aide de données africaines, australiennes et européennes issues de sociétés préhistoriques de chasseurs-cueilleurs et d'éleveurs.
La place de l'art pariétal paléolithique d¿Europe occidentale est particulièrement discutée, ainsi que la possibilité de discriminer de cette manière une organisation totémique ou des pratiques chamaniques.
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