Cet article se propose de développer une "anthropologie de l'absence" à propos de la migration, notamment à partir de différentes scènes sociales : les fêtes de village revitalisées, les noces et les funérailles. De tels événements auxquels participent les migrants qui retournent au village natal se caractérisent par une ambiguïté émotionnelle particulière et un processus dynamique de nostalgie qui à la fois emprisonne et libère. En même temps, le sens de l'absence est nourri de discours à propos des racines, de la tradition et de l'espace fondateur
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