Dans la mesure où le Chili est gouverné, depuis le retour à la démocratie, par une coalition de centre gauche, ce cas d�étude offre un intérêt particulier pour cerner jusqu�à quel point les mouvements de femmes entretiennent une relation amicale avec des partis de gauche contraints de se concerter avec la démocratie chrétienne. L�article aborde cette dynamique ponctuée par un féminisme institutionnel et la coopération des groupes et associations féministes avec l�État, pour saisir le traitement politique de deux enjeux, le divorce et l�avortement, particulièrement significatifs pour les femmes, la gauche, les conservateurs et l�Église.
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