This article proposes an interpretation of the rationales and social movements (social networks for the collection of residential property and land, urban riots, etc) that have appeared in the past few years as a result of access to the residential properties produced and distributed by the State, considering this point to be central in the current social and political context.. These properties, which are very largely subsidized because of the economic advantages that they provide indirectly (rental escape) or directly (speculative sale on the market), have become the forms which crystallize urban revenues as forms derived from oil revenue.
Cet article propose une lecture de l'ensemble des logiques et des mouvements sociaux (mise en place de réseaux informels de captation des biens résidentiels et du foncier, émeutes urbaines, etc...) s'étant développés ces dernières années à partir de l'accès aux biens résidentiels produits et distribués par l'État en considérant ce point comme central dans le contexte social et politique actuel. Ces biens résidentiels, très largement subventionnés du fait des avantages économiques qu'ils procurent indirectement (évasion locative) ou directement (vente spéculative sur le marché), sont devenus les formes par excellence à travers lesquelles se cristallisent les rentes urbaines comme formes dérivées de la rente pétrolière.
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