Ponge's taste for a final "formula" has something to do with his reading of Mallarmé - but his poetic relationship to Mallarmé is a complex one, where various rewritings in The Voice of Things 1 - of Igitur in "The Candle", but especially of the ptyx sonnet in "The Oyster" - turn Mallarmé's hermetism, but especially his negativity and obsession with absence, into an affirmation of the every day, without relinquishing the reflexivity of creation.
Le goût de Ponge pour une « formule » finale a quelque chose à voir avec ses rapports avec Mallarmé - mais le rapport entre sa poésie et celle de Mallarmé est complexe, sa pratique de la réécriture dans le Parti pris des choses - d'Igitur avec « La bougie », mais surtout du sonnet en -ix avec « l'Huître » - le conduisant à convertir l'hermétisme de Mallarmé, mais surtout sa négativité et son obsession du néant, en une affirmation du quotidien qui ne renie cependant pas la réflexivité de la création.
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