The term "bizarre" evokes heterogeneous mixtures, strangeness, and deviation, ideas that turn up in Nerval's descriptions of rooms, mores, and the inner life. Furthermore, when "bizarre" means something which reason cannot explain, it can lead yet more towards the private, isolated, inner life. Thus Nerval would seem to exemplify Bakhtin's observation that in the 19th century the grotesque became a "chamber grotesque", cut off from the public spheres - except that Nerval writes at times of collectively experienced bizarrerie, or tries to find its precedents and therefore take it out of the private sphere.
Le « bizarre » se relie à la bigarrure, à l'étrange, à l'écart, éléments qui lui sont associés lorsque Nerval parle de chambres, de moeurs, ou de la vie de l'esprit. De plus, comprendre le « bizarre » comme ce qui ne s'explique pas rationnellement peut tourner l'individu encore plus vers lui-même et sa sphère privée. Nerval serait donc exemplaire de la remarque de Bakhtine observant que le grotesque est devenu au XIXe siècle un « grotesque de chambre », coupé de la sphère publique - sinon qu'il arrive que Nerval décrive des expériences collectives de bizarrerie, ou tâche d¿en trouver les antécédents, le sortant donc de la vie privée.
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