Le sous-développement crée une tension supplémentaire sur l'usage et la préservation des ressources en eau. Pour faire face à la complexité croissante du problème et satisfaire les exigences de leurs partenaires internationaux, les pays « émergents » doivent modifier leur dispositif institutionnel, souvent trop administratif et trop centralisé. Les Agences de l'eau « à la française » peuvent alors fournir un modèle de référence.
Cet article analyse les conditions dans lesquelles trois pays tentent l'expérience d'adapter ce modèle à leurs conditions propres et les ense ignements qu'on peut en tirer. Il évalue aussi les mérites d'une décentrali satiofnon dée sur le territoire naturel du bassin fluvial distincte d'un découpage plus classique au niveau du territoire politique (la province ou l'État membre d'une fédération).
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