Si les systèmes productifs ont su, dans divers pays, s'adapter au nouveau contexte induit par la « globalisation », les marchés du travail restent, eux, soumis aux réglementations nationales ; cette dualité profite aux grandes entreprises qui en jouent pour délocaliser leurs productions. L'article fait le point sur la situation des relations professionnelles dans les pays en développement puis décrit l'effort d'organisation des travailleurs à l'échelle internationale ; il tente enfin d'imaginer de nouvelles règles pour permettre un fonctionnement correct du marché du travail dans le cadre de cette « globalisation »
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