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Unbearable Lessons: Contesting Fat Phobia in Physical Education

  • Autores: Heather Sykes, Deborah McPhail
  • Localización: Sociology of sport journal, ISSN 0741-1235, Vol. 25, Nº. 1, 2008, págs. 66-96
  • Idioma: inglés
  • Texto completo no disponible (Saber más ...)
  • Resumen
    • In this article we examine how fat-phobic discourses in physical education both constitute, and are continually negotiated by, �fat� and �overweight� students. This claim is based on qualitative interviews about memories of physical education with 15 adults in Canada and the U.S. who identified as fat or overweight at some time during their lives. The research draws from feminist poststructuralism, queer theory, and feminist fat theory to examine how students negotiate fat subjectivities in fat-phobic educational contexts. The interviews reveal how fat phobia in physical education is oppressive and makes it extremely difficult for most students to develop positive fat subjectivities in physical education; how weighing and measuring practices work to humiliate and discipline fat bodies; and how fat phobia reinforces normalizing constructions of sex and gender. The interviews also illustrate how some students resisted fat phobia in physical education by avoiding, and sometimes excelling in, particular physical activities. Finally, interviewees talk about the importance of having access to fat-positive fitness spaces as adults and suggest ways to improve the teaching of physical education.

      Dans cet article, nous examinons comment, en éducation physique, les discours adipo-phobiques construisent discursivement les étudiants corpulents et sont continuellement négociés par eux. Cette affirmation est fondée sur des entrevues avec 15 adultes canadiens ou américains qui s�identifient comme « gros » ou ayant du « surpoids » à un moment dans leur vie et à qui on a demandé de discuter de leurs souvenirs de l�éducation physique. Cette étude emprunte aux théories poststructuraliste, « queer » et féministe pour examiner comment les étudiants négocient leurs subjectivités en tant que « gros » dans un contexte éducatif adipo-phobique. Les entrevues révèlent que : la peur du gras corporel en éducation physique est oppressive et rend difficile le développement de subjectivités corpulentes en éducation physique ; les pratiques de mesure du gras et du poids humilient et disciplinent les corps plus gros ; et l�adipo-phobie renforce les constructions normalisatrices du sexe/genre. Les entrevues illustrent comment les étudiants résistent à l�adipophobie en éducation physique en évitant des activités physiques particulières. Enfin, les participants parlent de l�importance de l�accès à des espaces d�activité physique qui soient positifs pour les adultes corpulents et suggèrent des façons d�améliorer l�enseignement de l�éducation physique.


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