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Back to Basics: Class, Social Theory, and Sport

  • Autores: Alan Bairner
  • Localización: Sociology of sport journal, ISSN 0741-1235, Vol. 24, Nº. 1, 2007, págs. 20-36
  • Idioma: inglés
  • Texto completo no disponible (Saber más ...)
  • Resumen
    • It is relatively easy to understand why Marxism has been increasingly discredited in recent years both in the sociology of sport and in the social sciences more generally. Guilty by association with the failed attempts to construct communist societies, it has also come under attack from a variety of sources for its economic reductionism and its perceived inability to think beyond class. Even those Marxists such as Gramsci, who are invoked within the sociology of sport by exponents of cultural studies, are lauded not for their Marxism per se but rather for their (mistakenly inferred) willingness to play down the signifi cance of political economy. This essay argues, however, that much has been lost as a result of the retreat from Marxism, and specifi cally, the abandonment of the belief in the ultimate determinacy of the economic realm and the importance of social class. This is not meant to imply that other sources of identity, together with the various forms of discrimination suffered by a host of different social groups, do not matter or that their materiality cannot be linked effectively to class-based analysis. One might argue, however, that the interests of those groups have been better served in recent years by academic sociologists than have the interests of the poor. With that in mind, the time has come, perhaps, for Marxist sociologists of sport to offer fewer apologies and to replace these with a more robust defense of the subtleties of historical materialism as properly understood. At the very least this means reviving the argument that our identities can best be understood in terms of economics.

      Il est relativement facile de comprendre pourquoi le marxisme a été récemment discrédité en sociologie du sport et dans les sciences sociales en général. Coupable par association des tentatives manquées de construction des sociétés communistes, il a aussi été attaqué pour son réductionnisme économique et son incapacité perçue de penser au-delà des classes sociales. Même les marxistes, tels Gramsci, qui sont invoqués en sociologie du sport par les tenants des études culturelles ne sont pas louangés à cause de leur marxisme mais bien à cause de leur volonté (inférée par erreur) de minimiser l'importance de l'économie politique. Dans cet essai, il est proposé que beaucoup a été perdu suite au recul devant le marxisme et l'abandon d'une croyance en la détermination économique et l'importance de la classe sociale. Cela ne signifi e pas que d'autres sources d'identité et d'autres formes de discrimination dont souffrent une variété de groupes sociaux ne comptent pas ou ne peuvent pas être liées à une analyse fondée sur la classe. On pourrait suggérer, cependant, que les intérêts de ces groupes ont été mieux servis par les sociologues que les intérêts des pauvres. Il est peut-être temps, donc, pour les sociologues marxistes du sport d'offrir moins d'excuses et de les remplacer par une défense robuste des subtilités du matérialisme historique. À tout le moins, cela équivaut à faire revivre l'argument selon lequel nos identités peuvent être le plus adéquatement comprises en termes d'économie.


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