Les critiques de la « mondialisation », sous ses aspects économique, social et politique, récusent en elle un processus destructeur qui réduirait le « monde » à une marchandise. Après avoir défini cette notion de monde, qui donne sens à l'existence humaine, on montre que, en dépit des dangers dus à la « mobilisation infinie » que dénonce Sloterdijk, la mondialisation répond à une rationalité implicite qui sécrète une éthique de liberté universelle.
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