Public-private partnerships, widely used in British urban regeneration projects, since the time of Mrs. Thatcher, have not been rejected by the different governments of Tony Blair .However, the approach of these governments to urban renaissance gives greater weight to strategic planning than the previous conservative administrations. Moreover, in this new political context, the public sector's role as a 'manager' of urban development has been reinstated, having previously been conferred by the conservatives to the private sector. Thus, a process of re-adjustment is occurring in the distribution of functions between local authorities and developers. This change is perfectly illustrated by the restructuring of the Greenwich peninsula.
Le partenariat public-privé, outil privilégié de la régénération urbaine britannique depuis M. Thatcher, n'a pas été écarté par les gouvernements successifs de T. Blair. Mais la renaissance urbaine qu'ils proposent accorde davantage de poids à la planification stratégique que les politiques urbaines conservatrices antérieures. En outre, sur cette nouvelle scène politique, le secteur public retrouve la place de manager urbain que les conservateurs lui avaient retiré au bénéfice du secteur privé. Ainsi s'opère un rééquilibrage dans la répartition des fonctions entre collectivités locales et promoteur. Cette évolution des jeux d'acteurs est parfaitement illustrée par le processus de requalification de la péninsule de Greenwich à Londres.
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