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De l'usage de la littérature de fiction: à propos d'un ouvrage récent sur le "Lanzelet" d'Ulrich von Zazikhoven

  • Localización: Cahiers de civilisation médiévale, ISSN 0007-9731, Vol. 44, Nº 176, 2001, págs. 369-377
  • Idioma: francés
  • Texto completo no disponible (Saber más ...)
  • Resumen
    • Deutsch

      Das Interesse am Lanzelet des Ulrich von Zazikhoven (um 1200) bleibt wach ; davon zeugt die in diesem Rezensionsaufsatz besprochene Monographie von Ulrike Zellmann (Düsseldorf, 1996) wie auch die 2000 erschienene Arbeit von Nicola McLelland. Zellmanns Arbeit beeindruckt durch die Konsequenz, mit der versucht wird, den oft (auch in McLellands Buch) als Unterhaltungsroman eingestuften Lanzelet in einen neuen Bezugsrahmen zu stellen. Die Haupthese vermag aber nicht recht zu überzeugen. Für U. Zellmann ist im Lanzelet (A ein ABC-Buch », « ein Leporello ») primär eine pädagogische Absicht am Werk. Kennzeichnend für diese Erzählung scheint aber vielmehr der Hang zur « epischen Spekulation » (A. Adler) zu sein. Diese Tendenz macht sich in der (kompositionell vermittelten) Bestimmung der richtigen Relation zwischen matrimonialen Angelegenheiten und patrimonialer Interessenvertretung bemerkbar wie auch im Ausreizen des narrativen Potentials bei der Gestaltung von Einzelepisoden ¿ z. B. der Moreiz-Episode. Noch zu eruieren wäre allerdings das Verhältnis zwischen dieser Erzähllogik (geometrische Logik der Gesamtkomposition, verrückte Logik des Försters, der die eigene Burg mit einem Jagdrevier verwechselt) und der Anhäufung von weitgehend selbständigen, offenbar durch ihre eigene Beschaffenheit interessebeanspruchenden Elementen diverser Herkunft (Histörchen, Minnekasus, mirabilia, etc.) an der Textoberfläche.

    • français

      Deux monographies portant sur le Lanzelet d'Ulrich von Zazikhoven ont paru récemment (Ulrike Zellmann, 1996 ; Nicola McLelland, 2000). La contribution que voici présente la première d'entre elles et en discute la thèse principale. Ulrike Zellmann voit dans le Lanzelet (composé vers 1200) un « abécédaire » de la vie aristocratique laïque. Si intéressant que puisse être à plusieurs égards le travail soumis à discussion, cette proposition ne convainc guère. Ce que l'on croit déceler dans le Lanzelet, c'est plutôt, à l'inverse, un goût prononcé pour ce qu'A. Adler a appelé la « spéculation narrative ». Il se fait jour dans l'architecture du récit, fondée sur les relations qui s'instaurent entre les épisodes matrimoniaux de la biographie du héros et les exigences d'une continuité patrimoniale bien comprise, comme il peut se manifester dans le développement d'une séquence (comme celle de la visite au château de Moreiz) par l'exploitation jubilatoire des potentialités d'une situation narrative. Reste une difficulté d'interprétation importante, qui tient à l'élucidation du rapport existant entre cette construction romanesque de type géométrique (étude de cas de figure, ou recherche du cas-limite : par totale déformation professionnelle, le forestier Galagandreiz confond son château avec une réserve de chasse) et la composition par juxtaposition, très fréquente à la surface du texte (accumulation d'éléments largement autonomes, visiblement censés être intéressants en soi : historiettes, jugements d'amour, mirabilia, etc.).


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