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Des sociabilités qui surmontent les distances. Autour du réseau de relations intellectuelles de Francisco Manuel de Melo

  • Autores: Maria de Lurdes Correia Fernandes
  • Localización: Arquivos do Centro Cultural Calouste Gulbenkian, ISSN 0590-966X, Vol. 49, 2005, págs. 33-44
  • Idioma: francés
  • Texto completo no disponible (Saber más ...)
  • Resumen
    • Francisco Manuel de Melo a cultivé la sociabilité toute sa vie. Pendant une première période d'activité militaire ou diplomatique, à partir de 1626, c'est cette carrière militaire et diplomatique qui sert de support à sa création littéraire grâce aux nombreux contacts qu'il a su nuer au Portugal et en Europe (avec Quevedo, par exemple). Les correspondants de ses Cartas Familiares sont presque tous des écrivains (Faria e Sousa ou Severim de Faria), des religieux, des militaires et des hommes politiques cultivés. Cette période s'achève en 1654 quand il connaît la prison. Dès lors, c'est l'oisiveté qui sert de tremplin à sa création littéraire. Il cherche alors chaleur et compagnie dans les livres qui, véritablement, deviennent des amis avec qui il échange des agudezas. En outre, il prête, il offre même des livres qui sont un intemédiaire entre la vie littéraire de l'extérieur et sa propre pensée qui s'évade en cultivant des genres et des formes littéraires très variés. Aussi vient-on lui rendre visite, lui apoorter les livres qui'il souhaite posséder; ses admirateurs diffusent des copies de ceux qui'il écrit avant même qu'ils soient édités ou s'occupent de leur édition. Entre écirvains et politiques, entre hommes de cour et religieux, existait tout un réseau de relations possibles, de sociabilités diverses qui ne manqueron pas de s'épanouir au siècle suivant.


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