Échos métaphysiques dans les syllogismes cioraniens

• Autores: Constantin Grigorut
• Localización: Nouvelles études francophones, ISSN 1552-3152, Vol. 21, Nº 2, 2006, págs. 181-194
• Idioma: inglés
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• Resumen

  • Arrivé à Paris dans les années 1930 pour écrire une thèse doctorale en philosophie, Roumain d'origine et ami de Beckett, Cioran ne termina jamais sa thèse et changea vite de corde pour écrire des essais. Pour la période littéraire d'après 1945, il représente la plume la plus hantée par l'idée de la fin, de la mort individuelle à la mort historique, et cela se reflète probablement le mieux dans ses recueils des années 1950, Les Syllogismes de l'amertume (1952) et La Tentation d'exister (1956). Essentiellement fragmentaire, cette écriture cache de nombreux intertextes subordonnés à l'obsession de la finitude. Comme son titre le suggère, ce sont précisément quelques-unes de ces ombres interdiscursives que l'article "Échos métaphysiques dans les syllogismes cioraniens" vise à découvrir et à en sonder les fonctions