La perception qu'un enfant a des belles-mères esí fandée sur les cantes. Or, ce stéréolype. préscnt dans la liltérature enfantile, maît de limaginaire féminin classique. Bien que la noverca occupe la même position saciale que la mêre biologique, sa réputation est explicilement négative et s'associe á la malveillance á l'égard du beau-fils. La liltérature classique est envahie de belles-méres: soit les navercae veneficae, associées au poison, soil les belles-méres myíholagiques, oò l'on distingue les véritables belles-méres et celles qui jouent ce rôle. Le préjugé contre la naverca, considérée le paradigme do côté sombre de la femme en tant qu'épouse et mére idéale, peut être expliqué á partir du genre, c'est-á-dirc, limage que nous en offrent les textes antiques résulte l'ensemble de traits négaíifs attribués aux femmes en général dû á une tradition misogyne qui fait son apparition aussi bien en Gréce qu'á Rome.
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