Canadá
Dans les années soixante, on commence à évoquer l’idée que règnent dans les sociétés contemporaines un puissant tabou communicationnel autour de la mort et une médicalisation technicalisée de la fin de vie laissant trop peu de place au « sujet ». Cela contribuerait à l’« exclusion » des personnes mourantes des communautés. L’objectif de cet article sera double: d’abord, définir ce que la littérature sociologique et anthropologique entend, comprend et décrit comme étant le modèle palliatif du mourir – communément reconnu dans cette littérature sous le nom de « bonne mort » - et brosser un portrait des différentes critiques (parfois acerbes) qui lui sont adressées, questionnant notre rapport à la violence, à la personne et aux émotions.
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