La sangre en las Etimologías de Isidoro de Sevilla

• Joaquín Pascual-Barea ^[1]
  1. [1] Universidad de Cádiz

     Universidad de Cádiz

     Cádiz, España

     
• Localización: Pallas, ISSN 0031-0387, Nº. 113 (Actes du XIIe Colloque international sur les textes médicaux latins, Messine, 22-24 septembre 2016), 2020 (Ejemplar dedicado a: I fluidi corporei nella medicina e nella veterinaria latine. Dottrine, lessico, testi), págs. 111-127
• Idioma: español
• Títulos paralelos:
  • Le sang dans les Étymologies d’Isidore de Séville
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• Resumen
  • English

    Commentary on the main passages of the fourth and eleventh books of the Etymologies of Isidore of Seville on blood in relation to Medicine. These passages deal with issues such as the etymology of sanguis, sanitas and sanies, the differences between sanguis, sanies, tabes and cruor, the function of blood in gestation and breastfeeding, its relation to the soul, the properties of menstrual blood and its role in human fertilisation, and blood changes with age. Special attention is paid to the sources of these passages (Solinus, Servius, Suetonius, Caper, Saint Jerome, and the physicians Vindicianus, Caelius Aurelianus and Hippocrates), and to the theory of the correspondence between the four humors of the body and the four elements of the Universe, documented for the first time by Isidore.

  • français

    Examen des principaux passages des quatrième et onzième livres des Étymologies d’Isidore de Séville sur le sang par rapport à la Médecine. Ces passages traitent de questions telles que l’étymologie de sanguis, sanitas et sanies, les différences entre sanguis, sanies, tabes et cruor, la fonction du sang dans la gestation et l’allaitement, sa relation avec l’âme, les propriétés du sang menstruel et son rôle dans la fécondation humaine, et les changements dans le sang avec l’âge. Une attention particulière est portée aux sources de ces passages (Solin, Servius, Suétone, Caper, Saint Jérôme, et les médecins Vindicien, Célius Aurélien et Hippocrate), et à la théorie de la correspondance entre les quatre humeurs du corps et les quatre éléments de l’Univers, attestée pour la première fois chez Isidore.