Le pillage (dechoukaj) des Gonaïves offre l’exemple d’une violence politique qui se retourne contre le peuple lui-même ; il témoigne d’un déracinement du peuple haïtien, qui survit sous le règne des gangs depuis l’assassinat de son président, il y a plus d’un an. Le silence de la communauté internationale relève d’une indifférence à l’humanité.
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