Le traité de Martin Seidel, Origo et fundamenta religionis christianæ, composé probablement à la toute fin du xvie siècle, constitue un cas d’étude particulièrement intéressant de la clandestinité philosophique qui prépare le terrain à l’œuvre de Spinoza. Après une présentation analytique de l’œuvre clandestine, cet article propose une étude comparative de l’œuvre de Seidel et des idées de Spinoza, et essaie de situer cet auteur méconnu dans le contexte des idées philosophiques de son temps.
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