Les auteurs clandestins qui abordèrent le thème de l’histoire juive disposaient au fond de deux modèles : soit, la théorie, utilisée avant par les libertins, centrée sur l’image des législateurs et sur la doctrine de la religion comme imposture utile pour contrôler le peuple ; d’autre part, l’alternative spinoziste qui donnait une interprétation également politique de l’histoire hébraïque sans toutefois reprendre certains thèmes judéophobes de l’autre tradition.
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