Le recueil de proses de J. V. Foix L'estrella d'en Perris (1963) est précédé d'un prologue qui est assez surprenant, puisqu'il semble rédigé par l'éditeur et en même temps par l'auteur même. Une lecture qui tienne en compte les énonciateurs et la polyphonie (Ducrot) nous permet d'entendre mieux l'enjeu proposé par l'auteur et d'envisager les proses du recueil en tant que textes qui subvertissent les limites de la fiction et qui opèrent sur les possibilités données par la littérature du moi.
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