Spatial structure of organic viticulture: evidence from Chianti (Italy)

• Fabio BONCINELLI ^[1] ; Francesco RICCIOLI ^[1] ; Leonardo CASINI ^[1]
  1. [1] University of Florence

     University of Florence

     Firenze, Italia

     
• Localización: New medit: Mediterranean journal of economics, agriculture and environment = Revue méditerranéenne d'economie, agriculture et environment, ISSN 1594-5685, Vol. 16, Nº. 2 (junio), 2017, págs. 55-63
• Idioma: inglés
• Títulos paralelos:
  • Structure spatiale de la viticulture biologique: le cas du domaine du Chianti (Italie)
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• Resumen
  • English

    Several studies have stressed the existence of agglomeration effects in organic farming. However, due to a different incentive framework, viticulture can be considered an exception in the light of this general evidence. Applying a spatial Durbin Bayesian probit model to census data for the area of production of Chianti Classico DOCG (Italy), no spatial relation in the farmer’s decision to convert to or maintain organic viticulture emerged and spatial spillovers have a marginal role in terms of affecting viticulturists’ behaviour. An explanation for this evidence is the existence of quasi-monopsonic power in output markets with strict production standards, which limits spatial agglomeration effects. Structural factors such as small-size farm, farmer education and younger age are the main direct determinants for predicting the likelihood of being involved in organic viticulture.

  • français

    Plusieurs études ont mis l’accent sur la présence des effets d’agglomération en agriculture biologique. Toutefois, la viticulture constitue une exception par rapport à ce constat général vu qu’elle bénéficie d’un système d’aides différent. En appliquant un modèle probit de Durbin Bayesian spatial aux données du recensement du domaine viticole du Chianti Classico DOCG (Italie), aucune relation spatiale n’a été mise en évidence en ce qui concerne la décision des agriculteurs de se convertir à la viticulture biologique ou de perpétuer ce mode de production . En outre, les débordements spatiaux n’influent que marginalement sur le comportement des viticulteurs. Ceci s’explique par le pouvoir quasi-monopsonique des marchés de ces produits réglés par des normes de production très strictes qui limitent les effets d’agglomération spatiale. Les facteurs structurels tels la petite taille des exploitations, le niveau d’éducation et le jeune âge des agriculteurs, sont les principaux déterminants qui permettent de prévoir la probabilité de s’engager dans la viticulture biologique.