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Resumen de La calligraphie en Espagne: Ricardo Rousselot

Jean Claude Larchet

  • Parler aujourd'hui de calligraphie pourrait peut-être passer pour une gageure, particulièrement depuis ces dernières années où presque tout le monde, les professionnels des arts graphiques les premiers, ne jure que par les procédés photographiques ou électroniques. C'est tout juste si l'homme de la rue n'aspire pas à supprimer le geste quotidien d'écrire ou, tout au moins, à le remplacer par une quelconque machine, au profit de la rentabilité-rapidité. Cela a commencé avec la suppression des porte-plume à l'école au profit du stylo à bille et du feutre, avec toutes les conséquences de malformation des lettres ou de l'iliisibilité des écritures. Sans parler de la machine à écrire qui, depuis des lustres, a pris le relais du crayon ni de la frappe et de la visualisation sur écran cathodique (les ordinateurs étant naturellement de la partie). Mais dans tout ce glissement progressif à ne plus écrire, écrire à la main a-t-il encore une signification ? La démarche de Ricardo Rousselot, calligraphe espagnol dont nous parle aujourd'hui Jean Larcher, n'en est donc que plus originale. Il réussit au contraire à insuffler une nouvelle vie à la calligraphie : la publicité et l'édition font appel à ses créations.


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