Sobre los relatos “españoles” de la duquesa de Abrantes : Le confesseur (1836).

Abstract

En la abundante producción novelesca de Laure Permon, duquesa de Abrantes, se encuentran las nouvelles contenidas en la obra Scènes de la vie espagnole (1836), que he estudiado en otros lugares. Este trabajo toma en consideración una de ellas, Le confesseur, que presenta la particularidad de situarse en Murcia, teniendo en cuenta ciertos aspectos que lo moldean -y que están presentes en otras nouvelles de la autora- como la insistencia en la delimitación de un marco histórico-geográfico, la utilización de fuentes librescas, la presencia de sentimientos que crean el conflicto (el amor, la muerte), así como las técnicas de construcción del relato.

Within the abundant novel production of Laure Permon, Duchess of Abrantes, are the nouvelles contained in the work Scènes de la vie espagnole (1836), which I have dealt with on several occasions. This paper focuses on one of them, entitled Le confesseur, which has the particularity of being set in Murcia, taking into consideration some coordinates that make it up –and that are present in other nouvelles by the author– such as the insistence on the delimitation of the historical-geographical framework, the use of bookish sources, the presence of conflicting feelings (love and death), as well as the techniques of construction of the story.

Dans l’abondante production romanesque de Laure Permon, duchesse d’Abrantès, se trouvent les nouvelles contenues dans l’ouvrage Scènes de la vie espagnole (1836), que j’ai étudié ailleurs. Ce travail aborde l’une d’entre elles, intitulée Le confesseur, qui a la particularité de se situer à Murcie, en tenant compte de certaines coordonnées qui la façonnent –et qui sont présentes dans d’autres nouvelles de l’auteure– telles que l’insistance sur la délimitation du cadre historico-géographique, l’utilisation de sources livresques, la présence de sentiments conflictuels (l’amour et la mort), ainsi que les techniques de construction du récit.