Resumen de Self-Care, Productivity, and Leisure, or Dimensions of Occupational Experience?: Rethinking Occupational "Categories"
- English
Background. Critics contend that occupational therapy's theories of occupation are culturally specific, class-bound, and ableist, and that the division of all occupations into three simplistic categories of self-care, productivity, and leisure is arbitrary, lacks supportive evidence, and promotes a doctrine of individualism. Purpose. To add to the work of critics who advocate a fundamental rethinking of occupational therapy's conceptualizations of occupation in terms of subjective qualities of experience that address intrinsic needs. Key issues. This paper suggests that if categories of occupation were informed by the ways in which people experience their occupations, these might be labelled as restorative, as ways to connect and contribute, as engagement in doing, and as ways to connect the past and present to a hopeful future. Implications. If occupational therapists enabled diverse clients' perspectives to inform occupational categories, perhaps relationships between occupations and well-being might more easily be identified in theory and addressed in practice.
- français
Description. Certains critiques affirment que les théories sur l'occupation sont teintées de capacitisme et qu'elles sont associées à certaines cultures et classes; ils considèrent que la division de toutes les occupations en trois catégories simplistes, soient les soins personnels, la productivité et les loisirs, est arbitraire, qu'elle n'est pas justifiée par suffisamment de données probantes et qu'elle favorise une doctrine de l'individualisme. But. Ajouter aux travaux des critiques qui préconisent le besoin de revoir fondamentalement les concepts de l'occupation en ergothérapie en fonction des qualités subjectives des expériences qui répondent à des besoins intrinsèques. Questions clés. Cet article suggère que si les catégories d'occupations étaient définies par les expériences vécues par les gens à travers leurs occupations, il serait alors possible de les désigner comme des façons de se rétablir, des façons d'établir des liens et de participer, des façons de participer en accomplissant des choses et des façons de relier le passé et le présent à un avenir fondé sur l'espoir. Conséquences. Si les ergothérapeutes prenaient en compte les diverses perspectives des clients pour définir les catégories d'occupations, il serait peut-être plus facile de définir théoriquement les relations entre les occupations et le bien-être et de les aborder dans la pratique
