Couverture fascicule

Max Pohlenz. Ans Platos Werdezeit, Philologische Untersuchungen

[compte-rendu]

Année 1915 28-126 pp. 89-94
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COMPTES RENDUS BIBLIOGRAPHIQUES

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et jo lui dis : Eh ! quoi,... se peut-il bien

que ' ?) ». 1b. 1. 21, « ton inconséquence » est

un contre sens ; l'iAoyiadont parle Diolime est celle dont parait l'aire prouve la φ'.Λοτιμ.ία humaine. Etc.

11 y a dans les notes quelques erreurs de référence. P. I, note I, lire : Apol. Socr. 38 B. — P. 2, note, le renvoi à Apol. Soar. 41 A ; Arist. Ban. 25 elc. est inexact. — P. 4 ; note I , lire : Phèdre, 220 A. — P. 14, note I, lire Phèdre, 208 B. — P. 26, note 1, ih-e : Apol. Socr. 28 C. — P. 69, note 2, dire qu' « Aie est la déesse de la séduction » (au sens de : l'Égarement) est une façon de parler bien équivoque. — P ; 77, note 2, lire : Allusion aux vers 633 sq. du X(° cliant de Y Odyssée. — P. 00, note I, un pou de confusion. Ne pas oublier qu'Hésiode réserve lenom d'-Γ,ρωες (ou ημίθεο1.) aux hommes du quatrième âge, tandis que les δαίμονες dont il est question ici sont ceux do l'âge d'or. De môme p. 109, note 2. —P. lit, note I, lire 430 au lieu de 419.

Quelques-uns des rapprochements ou des commentaires tentés par M. M. m'ont paru étranges. Ainsi p. 8 (fin do la note 2) ; p. 0, note 3 ; p. 10, note 1 ; p. 41, note 1 (sur le hoquet d'Aristophane qui symboliserait « la force de compression de l'amour, aspirant à devenir une force d'expansion » ( ?) : p. 83, note 1 ; p. 141, note 2.

21. Max POHLËNZ. Ans Platos Wer- dezeit, Philologische Unlersuchungen. Berlin, Weidmann, 1913. In-8°, 427 p.

Ce livre compact est d'une lecture difficile, mais d'un grand intérêt. M. Pohlenz veut déterminer quelles influences ont amené Platon à s'écarter de la doctrine socratique et à formuler une philosophie originale.

D'après lui, il faut admettre que les dialogues platoniciens ont pour objet de nous donner une image fidèle du milieu athénien au ve siècle. Platon, comme Euripide, met dans la bouche des interlocuteurs de ses drames des pensées qui lui sont propres (p. 12, 13) ; mais il a le souci de les peindre tels qu'ils furent, soit d'après des souvenirs personnels, soit d'après le rapport de personnes bien informées. En ce sens, les dialogues platoniciens dérivent des mémoires, assez nombreux dès cette époque (Mémoires d'Ion de Chio, Όμι-

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