Couverture fascicule

J'ai deux amours... Guinglain entre épouse et maîtresse

[article]

doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 55

MELANGES

J'ai deux amours... Guinglain entre épouse et maîtresse

RÉSUMÉ

Abstract

Un homme, deux femmes séduisantes. Il s'engage officiellement auprès de l'une, avant de l'épouser; mais garde pour l'autre qu'il a fréquentée auparavant un attachement physique et sensuel qui l'amène à cumuler les deux relations. Tel est l'argument fondamental du Biaus Descouneiis.

Ainsi se trouve constitué un de ces trios qui font les délices de la littérature romanesque; mais l'inspiration du romancier médiéval doit être saisie dans sa spécificité.

Pour ce faire, comme l'attachement de Guinglain pour Blanches-Mains et pour Blonde Esmerée forme le sujet d'un récit par ailleurs un peu hétéroclite, comme l'auteur, dans l'épilogue, tend à confondre la destinée du héros avec la sienne, il nous a semblé intéressant d'étudier les caractéristiques de la relation sentimentale qui s'est établie entre Guinglain et ses deux compagnes. C'est dans la peinture des sentiments amoureux que se révèle la personnalité d'un romancier courtois et, en l'occurrence, l'engagement de l'écrivain dans une œuvre qui devient un témoignage personnel, fournit une garantie de son authenticité.

Toutefois le développement d'une étude contrastée des deux liaisons sentimentales et des deux personnages féminins qui y participent, même si elle prend en considération les modifications que le dynamisme du récit apporte à la peinture des caractères, ne saurait rendre totalement compte d'une

Cahiers de civilisation médiévale, 41, 1998, p. 55-63.

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw