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AccueilNuméros47-1Dossier. La ville antique de Bael...Le théâtre de Baelo Claudia

Dossier. La ville antique de Baelo, cent ans après Pierre Paris

Le théâtre de Baelo Claudia

Vers une restitution
El teatro de Baelo Claudia: hacia una restitución
The theatre at Baelo Claudia: towards a restitution
Macarena Bustamante Álvarez, Djamila Fellague, Myriam Fincker, Hélène Le Meaux, Jean-Charles Moretti, Véronique Picard et Oliva Rodríguez Gutiérrez
p. 121-131

Résumés

Le théâtre de Baelo Claudia a principalement connu deux phases de construction, qui nécessitent diverses explications : l’une dans les dernières années du règne de Néron et l’autre au tout début de l’époque flavienne. Elles font partie de l’important programme de rénovation qui modifia profondément la physionomie de l’équipement public du municipe durant la seconde moitié du ier s.

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Texte intégral

  • 1Fincker, Moretti, 2009.
  • 2Eristov, Fincker, Moretti, 2014.
  • 3Fincker et alii, 2016.

1Toujours resté visible après son abandon et sa ruine, le théâtre de Baelo Claudia a fait l’objet de fouilles en 1919 par P. Paris et J. Bonsor, puis entre 1978 et 1979 par M. Ponsich et S. de Sancha. Ces travaux, qui ont permis de mettre au jour les vestiges des élévations de l’édifice, ont été suivis d’un assez grand nombre de publications, chroniques de fouille et présentations de synthèse, qui ont fait connaître les principales caractéristiques du monument sans néanmoins fixer avec certitude la datation de ses différentes phases et l’évolution de sa configuration. Une nouvelle étude et de nouveaux relevés accompagnés de sondages ont été entrepris en 2004 dans le but de réaliser une monographie qui prendra place dans la série « Belo » publiée par la Casa de Velázquez. Plusieurs résultats de ce programme qui touche à sa fin ont déjà été publiés. Ils concernent le front de scène de type rectiligne à cinq portes ; un probable sacellum qui était aménagé dans le postscaenium et ouvrait sur le decumanus longeant la façade du théâtre1 ; les différents états du front du pulpitum tourné vers l’orchestra et des substructions de son plancher ; le rideau de scène, enfin, qui permettait d’occulter l’estrade avant le début et à la fin des spectacles2. Tout récemment, en 20163, nous avons publié un article qui synthétise l’ensemble de nos acquis et de nos doutes.

2À cette mise au point et aux articles qui ont marqué les étapes de nos travaux, nous n’avons actuellement que peu à ajouter : quelques éléments sur la chronologie des deux phases principales de l’édifice et différentes hypothèses pour en rendre compte ; quelques réflexions aussi sur la place du monument dans la ville et dans l’histoire du théâtre.

3Ainsi que nous l’avons déjà fait savoir, deux phases de construction se laissent identifier (fig. 1). La première est caractérisée par l’usage de moellons de calcaire marron dans les fondations et dans les murs et de petits morceaux de calcarénite dans les voûtes des vomitoires ; la seconde, par l’usage de calcaire gris dans les murs et de plaquettes de même matière dans les voûtes. À la première appartiennent presque l’ensemble des fondations, la totalité des pièces situées dans l’angle sud-est du bâtiment de scène, les aditus, le reste du bâtiment de scène à l’exclusion de l’élévation du mur de façade entre les portes P3 et P10, les maçonneries des substructions de la cavea à l’exclusion de l’élévation du mur périphérique Ma1, de la section de Ma2 située entre les couloirs associés aux portes P25 et P27 et des couvrements voûtés de ces couloirs. Toutes les autres maçonneries appartiennent à la seconde phase.

Fig. 1. — Plan général du théâtre

Fig. 1. — Plan général du théâtre

Réalisation : M. Fincker, J.-M. Labarthe, V. Picard.

  • 4   Les membres de l’équipe ne partagent pas sur ce point la même opinion. En restant ouverte (...)

4Nous avons élaboré deux hypothèses pour rendre compte de ces deux phases4. Selon la première, le processus de construction aurait été volontairement interrompu puis repris. La netteté de la limite entre les deux phases de construction de la voûte couvrant le couloir associé à la porte P20 peut laisser supposer un arrêt programmé de la construction. L’édifice serait resté inachevé pendant quelque temps avec pour seule élévation aboutie l’angle sud-est du bâtiment de scène, qui est tourné vers le centre monumental de la ville. Partout ailleurs, la construction de la façade aurait été laissée en attente. Il n’est pas interdit de penser que le front de scène et même que les gradins de l’ima cavea aient été mis en place dans cette première phase et l’on peut même se demander si le théâtre pouvait alors recevoir des spectacles.

5Selon la seconde hypothèse, le monument aurait connu une restauration importante d’une grande partie de sa façade et d’une section des murs de refend qui lui sont liés. L’importance des maçonneries reconstruites augmente à mesure que l’on progresse vers l’angle sud-ouest de l’édifice, qui est celui où le terrain naturel présente le niveau naturel le plus bas. Ces murs et même en certains endroits la partie supérieure de leurs fondations auraient été détruits ou, du moins, suffisamment mis à mal pour que l’on juge préférable de les remplacer par une nouvelle construction. Le plan général de l’édifice n’aurait pas alors été modifié. Dans le bâtiment de scène, comme dans la cavea, des fondations de la première phase existent en effet sous les élévations de la seconde phase et cela a été confirmé dans le sondage réalisé contre la porte axiale de la cavea en 2010. La restauration aurait été réalisée avec des matériaux différents pour le petit appareil. Pour le grand appareil la question reste ouverte. Une observation, qui n’est pas décisive, inviterait à penser qu’il date de cette seconde phase : nous n’avons relevé aucun indice qui laisse penser que les blocs de calcarénite des façades ont été démontés puis remontés ou qu’ils ont subi des dommages lors d’un effondrement. Au moment de sa destruction partielle qui fut suivie par une restauration, le théâtre était-il achevé ? Notre documentation ne permet pas de répondre actuellement à cette question.

6Le mobilier mis au jour durant les dernières interventions archéologiques réalisées dans le théâtre entre 2009 et 2011, permet de préciser les dates des différentes phases du monument et de les confronter avec les vestiges encore visibles.

7A priori, les données ne sont pas suffisantes pour identifier une phase augustéenne. Les couches les plus anciennes, interprétées comme des couches de préparation du terrain, doivent être datées, sans pouvoir apporter plus de précision, de la première moitié du ier s. apr. J.-C. Le sondage 3 implanté dans l’angle formé par l’égout axial et la branche occidentale du drain est-ouest de l’hyposcaenium a en effet révélé de nombreux fragments de sigillées italiques dont un bord de Consp. 22 (US 3000 et US 3004).

  • 5Fincker, Sillières, 2006, pp. 82-85.

8Les sondages réalisés dans les niveaux de fondation de la summa cavea à l’est de P23, entre Ma1 et Ma2, ont mis en évidence une stratigraphie correspondant aux deux phases successives qui caractérisent les maçonneries du théâtre. Ces deux étapes avaient déjà été identifiées par les sondages effectués par P. Sillières en 20015. Nous avons repris l’étude du matériel céramique qui en est issu.

9La première étape importante de construction de l’édifice est révélée par les couches US 6004, US 6009, US 6014 et US 9001, qui résolvent une des inconnues majeures concernant ce bâtiment. Bien que le matériel soit rare, il est toutefois suffisamment caractéristique pour affirmer que l’édifice n’a pas été mis en chantier avant une date avancée de l’époque néronienne. On a en effet décelé des indices liés aux travaux de préparation du terrain.

  • 6Sillières, 1977 ; Bustamante, 2008.
  • 7Genin, 2007, pp. 71 et 109.

10La première étape de construction néronienne est caractérisée par la présence prépondérante de sigillées gauloises (fig. 2a et 2b, pp. 127-129), témoignant aussi de la place de la cité dans l’articulation du commerce avec la Gaule6. Il convient de signaler que seules des productions de l’atelier de La Graufesenque ont été repérées, du matériel se rattachant aux fosses ruthènes de La Graufesenque (le canal, l’ensemble Fronto et le sondage Cluzel 15) datées des dernières années du règne de Néron7. Dans les sondages du théâtre, apparaissent des formes du type Drag. 15/17, 18, 24/25, 27a, 35/36, Ritt. 8 et 9, et quelques sigillées des ateliers de Damonus ou Scotinus. La datation vers la fin de règne de Néron est assurée par la présence de quelques céramiques sigillées marbrées si caractéristiques du répertoire céramique de Baelo à cette période.

Fig. 2a — Sélection de matériel céramique provenant de l’US 9001 (phase I)

Fig. 2a — Sélection de matériel céramique           provenant de l’US 9001 (phase I)

DAO : M. Bustamante Álvarez

Fig. 2b — Sélection de matériel céramique provenant de l’US 9001 (phase I)

Fig. 2b — Sélection de matériel céramique           provenant de l’US 9001 (phase I)
  • 8Ibid., p. 317 ; Vernhet, 1976.

11Les formes Drag. 35/36 avec leur décoration phytomorphe barbotinée constitueraient des éléments définitoires de cette importante phase de construction. Ces pièces formeraient ce qui a été défini comme le « service A » traditionnellement daté entre la fin du règne de Néron et le début de l’époque flavienne8. Bien qu’il faille, dans des contextes ayant livré peu de matériel, considérer les critères ab silentio avec la plus grande précaution, l’absence de productions largement diffusées à l’époque flavienne telles que l’ARSW-A et les sigillées hispaniques, pourrait être un argument en faveur de la proposition chronologique avancée.

12Après cette première étape de construction se dessine, au début de l’époque flavienne, une seconde phase d’aménagement du théâtre (US 6001, US 6005, US 6008 et US 9000). Cette étape flavienne se caractérise par l’apparition des formes hispaniques dont la plus répandue est la forme Drag. 37, typique de cette période (fig. 3, pp. 130-131). Dans ce contexte stratigraphique, aucun vestige du iie s. apr. J.-C. n’a été mis en évidence, ce qui pourrait indiquer que le bâtiment a conservé sa physionomie originale du début de la dynastie flavienne jusqu’à une date avancée du iiie s. de notre ère. Le sondage 5, implanté devant le théâtre, à 5 m au sud de la basilique ouest, a révélé des contextes tardifs qui montrent une réutilisation de l’espace.

Fig. 3. — Sélection de matériel céramique provenant de l’US 6005 (phase II)

Fig. 3. — Sélection de matériel céramique           provenant de l’US 6005 (phase II)

1.- Bord de couvercle. Céramique commune. Pâte de couleur brune.
2.- Bord de mortier avec lèvre retournée. Céramique commune. Pâte de couleur jaune paille.
3.- Bord de coupe Drag. 24/25 avec décoration au burin. Céramique sigillée hispanique.
4.- Bord de cruche, lèvre moulurée. Céramique commune. Pâte de couleur jaune paille.
5.- Fond de gobelet. Céramique à parois fines de Bétique.
6.- Panse de Drag. 37. Frise décorée de motifs de pointes de flèches et frise de lignes ondulées en forme de S. Céramique sigillée sud-gauloise.
7.- Bord et arrachement de l’anse d’une amphore. Haltern 70. Pâte de couleur verdâtre.
8.- Bord de cruche. Lèvre épaissie. Pâte de couleur orangée.
9.- Panse de Drag. 29. Frise décorée de motifs phytomorphes et de lignes ondulées (oves). Le décor est délimité, en haut et en bas, par une ligne de perles réalisées au burin.
10.- Fond de vase fermé. Céramique commune de table. Pâte de couleur rose saumon.
11.- Bord et anse de cruche. Céramique commune. Pâte de couleur jaune paille.
12.- Fond de plat. Céramique sigillée sud-gauloise.
13.- Bord de coupe Drag. 24/25 avec décoration au burin. Céramique sigillée sud-gauloise.
14.- Fond de coupe Ritt. 8. Céramique sigillée sud-gauloise marbrée.
15.- Bord de couvercle. Céramique commune de table. Pâte de couleur jaune paille.
16.- Bord de cruche avec lèvre épaissie. Céramique commune. Pâte de couleur orangée.

DAO : M. Bustamante Álvarez

  • 9   D. Fellague dans Sillières et alii, 2013, pp. 149-215.

13La construction réalisée durant la seconde moitié du ier s. apr. J.-C. fait partie de l’important programme de rénovation qui modifia alors profondément la physionomie des édifices publics du municipe entre le milieu du ier s. et la première moitié du iie s. Les temples du « Capitole » auraient été édifiés entre 50 et 65 ; la construction du sanctuaire d’Isis est située vers 60-70 ; la transformation de la bordure nord du forum est datée de 65-75 ; le macellum a été daté de l’extrême fin du ier s. La basilique actuellement visible pourrait avoir été construite à partir du milieu du ier s. en remplacement d’une basilique précédente à laquelle appartiendraient des blocs remployés dans le monument9 ainsi que de puissantes fondations révélées par des sondages. Si donc la forme de la ville à l’époque augustéenne reste encore difficile à cerner, l’ampleur de sa transformation durant la seconde moitié du ier s. est bien établie et il apparaît que le théâtre fut alors considéré comme une pièce majeure de la panoplie monumentale du municipe.

  • 10Jansen, 2005 ; Rodríguez Gutiérrez, 2011.

14Par ses dimensions, le théâtre de Baelo Claudia (D. : 68,74 m) fait partie des petits édifices de Bétique, avec les théâtres d’Acinipo, de Singila Barba et de Malaga10. Tous les quatre ont des diamètres compris entre 50 et 70 m. Les théâtres d’Italica (D. : 75,76 m), de Gadès (D. : environ 85 m) et de Carteia (D. : environ 86 m) les surpassaient un peu. Celui de Cordoba, capitale de la province, était presque deux fois plus grand (D. : 124,23 m). Édifice de dimensions modestes, il n’en présente pas moins des singularités notables dans sa configuration. Son front de scène à cinq portes avec un mur rectiligne et colonnes sur podiums, ne se rencontre ailleurs en Hispanie qu’au théâtre de Clunia bâti sous Tibère mais son sacellum aménagé sur l’axe du postscaenium reste sans parallèle.

 

15L’originalité dont fait preuve le monument étonne au regard de la pauvreté de sa décoration architecturale sculptée dans la pierre, qui était cependant sans doute complétée par des ornements en stuc, une décoration peinte et plaquée, au moins pour certaines parties du bâtiment de scène, et par un mobilier en marbre, dont ne subsistent que les deux statues de Silène des fontaines du pulpitum. Au-delà d’approches morphologiques et ornementales, nous devrons tenter de répondre à des questions historiques et sociologiques. Il n’est guère étonnant de constater une influence de la Maurétanie tingitane toute proche dans la décoration architecturale de Baelo, mais de possibles liens avec la lointaine Asie Mineure peuvent surprendre pour une époque aussi précoce que le milieu du ier s. Il conviendra de s’interroger sur leurs vecteurs et sur leur sens.

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Bibliographie

Bustamante Álvarez, Macarena (2008), « Terra sigillata gálica en el Círculo del Estrecho. Balance historiográfico y nuevas líneas de investigación », Actes du Congrès de lEscala-Empúries. Les productions céramiques en Hispanie tarraconaise, iie siècle avant J.-C.-vie siècle après J.-C. : actualité des recherches céramiques, Marseille, pp. 503-527.

Eristov, Hélène, Fincker, Myriam, Moretti, Jean-Charles (2014), « Recherches récentes au théâtre de Baelo Claudia », Bulletin de la SFAC, RA, pp. 118-126.

Fincker, Myriam, Moretti, Jean-Charles (2009), « Au théâtre de Baelo Claudia : front de scène et lieux de culte », dans Jean-Charles Moretti (éd.), Fronts de scène et lieux de culte dans le théâtre antique, Lyon, Travaux de la Maison de l’Orient et de la Méditerranée (52), pp. 157-173.

Fincker, Myriam, Moretti, Jean-Charles, Fellague, Djamila, Le Meaux, Hélène, Rodríguez Gutiérrez, Oliva (2016), « Recherches récentes au théâtre de Baelo Claudia », dans Actas de las II Jornadas Internacionales de Baelo Claudia: Nuevas Investigaciones (14 y 15 de abril de 2010, Cádiz), Séville, Junta de Andalucía, pp. 237-257.

Fincker, Myriam, Sillières, Pierre (2006), « Le théâtre de Baelo Claudia : particularités architecturales et chronologie », dans Ángel Ventura, Carlos Marquez (éd.), Jornadas sobre teatros romanos en Hispania, Cordoue, pp. 81-98.

Genin, Martine (2007), La Graufesenque (Millau, Aveyron). Sigillées lisses et autres productions, t. II, Santander.

Jansen, Brita (2005), « Römische Theater in der Baetica », MDAI(M), 46, pp. 289-416.

Rodríguez Gutiérrez, Oliva (2011), « Algunas reflexiones en torno a los teatros romanos de la Bética », dans Darío Bernal et Alicia Arévalo (coord.), El Theatrum Balbi de Gades, Cadix, pp. 335-371.

Sillières, Pierre (1977), « Belo, important marché espagnol de la céramique de la Graufesenque », Caesarodumum, 12, pp. 436-446.

— (dir.) [2013], Belo IX. La basilique, Madrid, Collection de la Casa de Velázquez (136).

Vernhet, Alain (1976), « Création flavienne de six services de vaisselle à la Graufesenque », Figlina, 1, pp. 13-27.

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Notes

1Fincker, Moretti, 2009.

2Eristov, Fincker, Moretti, 2014.

3Fincker et alii, 2016.

4   Les membres de l’équipe ne partagent pas sur ce point la même opinion. En restant ouverte à la seconde hypothèse, M. Fincker défend la première hypothèse. O. Rodríguez Gutiérrez et J.-Ch. Moretti retiennent la seconde. Les autres sont sans avis.

5Fincker, Sillières, 2006, pp. 82-85.

6Sillières, 1977 ; Bustamante, 2008.

7Genin, 2007, pp. 71 et 109.

8Ibid., p. 317 ; Vernhet, 1976.

9   D. Fellague dans Sillières et alii, 2013, pp. 149-215.

10Jansen, 2005 ; Rodríguez Gutiérrez, 2011.

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Table des illustrations

Titre Fig. 1. — Plan général du théâtre
Crédits Réalisation : M. Fincker, J.-M. Labarthe, V. Picard.
URL http://journals.openedition.org/mcv/docannexe/image/7388/img-1.jpg
Fichier image/jpeg, 162k
Titre Fig. 2a — Sélection de matériel céramique provenant de l’US 9001 (phase I)
Crédits DAO : M. Bustamante Álvarez
URL http://journals.openedition.org/mcv/docannexe/image/7388/img-2.jpg
Fichier image/jpeg, 102k
Titre Fig. 2b — Sélection de matériel céramique provenant de l’US 9001 (phase I)
URL http://journals.openedition.org/mcv/docannexe/image/7388/img-3.jpg
Fichier image/jpeg, 111k
Titre Fig. 3. — Sélection de matériel céramique provenant de l’US 6005 (phase II)
Légende 1.- Bord de couvercle. Céramique commune. Pâte de couleur brune.2.- Bord de mortier avec lèvre retournée. Céramique commune. Pâte de couleur jaune paille.3.- Bord de coupe Drag. 24/25 avec décoration au burin. Céramique sigillée hispanique.4.- Bord de cruche, lèvre moulurée. Céramique commune. Pâte de couleur jaune paille.5.- Fond de gobelet. Céramique à parois fines de Bétique.6.- Panse de Drag. 37. Frise décorée de motifs de pointes de flèches et frise de lignes ondulées en forme de S. Céramique sigillée sud-gauloise.7.- Bord et arrachement de l’anse d’une amphore. Haltern 70. Pâte de couleur verdâtre.8.- Bord de cruche. Lèvre épaissie. Pâte de couleur orangée.9.- Panse de Drag. 29. Frise décorée de motifs phytomorphes et de lignes ondulées (oves). Le décor est délimité, en haut et en bas, par une ligne de perles réalisées au burin.10.- Fond de vase fermé. Céramique commune de table. Pâte de couleur rose saumon.11.- Bord et anse de cruche. Céramique commune. Pâte de couleur jaune paille.12.- Fond de plat. Céramique sigillée sud-gauloise.13.- Bord de coupe Drag. 24/25 avec décoration au burin. Céramique sigillée sud-gauloise.14.- Fond de coupe Ritt. 8. Céramique sigillée sud-gauloise marbrée.15.- Bord de couvercle. Céramique commune de table. Pâte de couleur jaune paille.16.- Bord de cruche avec lèvre épaissie. Céramique commune. Pâte de couleur orangée.
URL http://journals.openedition.org/mcv/docannexe/image/7388/img-4.jpg
Fichier image/jpeg, 156k
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Pour citer cet article

Référence papier

Macarena Bustamante Álvarez, Djamila Fellague, Myriam Fincker, Hélène Le Meaux, Jean-Charles Moretti, Véronique Picard et Oliva Rodríguez Gutiérrez, « Le théâtre de Baelo Claudia »Mélanges de la Casa de Velázquez, 47-1 | 2017, 121-131.

Référence électronique

Macarena Bustamante Álvarez, Djamila Fellague, Myriam Fincker, Hélène Le Meaux, Jean-Charles Moretti, Véronique Picard et Oliva Rodríguez Gutiérrez, « Le théâtre de Baelo Claudia »Mélanges de la Casa de Velázquez [En ligne], 47-1 | 2017, mis en ligne le 01 janvier 2018, consulté le 16 avril 2024. URL : http://journals.openedition.org/mcv/7388 ; DOI : https://doi.org/10.4000/mcv.7388

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Auteurs

Macarena Bustamante Álvarez

Universidad Autónoma de Madrid

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    Paru dans Mélanges de la Casa de Velázquez, 48-1 | 2018

Djamila Fellague

université de Grenoble-Alpes

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Myriam Fincker

CNRS – IRAA – Aix-Marseille université

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Musée du Louvre (Paris)

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CNRS – IRAA – université Lumière Lyon 2

Véronique Picard

CNRS – IRAA –université de Pau et des Pays de l'Adour

Oliva Rodríguez Gutiérrez

Universidad de Sevilla

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