Couverture fascicule

Jan de Vries. — Heroic Song and Heroic Legend

[compte-rendu]

Année 1964 7-27 pp. 359-363
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, Oxford Univ. Press, 278 pp. (« Oxford Paperbacks », 69).

Cette « introduction à la lecture d'une épopée héroïque de n'importe quel pays » fut publiée en Hollande en 1959 (H eldenlied en Hcldensage, Utrecht, Hct Spectrum) et, traduite et augmentée par l'auteur, en Suisse en 1961 (H eldenlied und Heldensage, Berne, Francke [« Sammlung Dalp », 78]) ; l'édition hollandaise fut traduite en anglais par le défunt B.J. Timmer, de Queen Mary Collège, Londres.

Ce « Paperback » s'adresse au grand public cultivé, ainsi qu'aux médiévistes spécialisés en ce domaine qui

t. III, i960, p. 511). Il est fort douteux aussi qu'il faille « ramener l'œuvre de Thomas très près de l'an 1200 » et la placer après le Tristan de Béroul : la date de 1170/75 est de beaucoup la plus vraisemblable pour le roman de Thomas, d'après les arguments de M. A. Fourrier, tandis que celui de Béroul, du moins dans la forme où nous l'avons, semble bien appartenir à la dernière décennie du xn° siècle.

23. K. Mhret, Le « Roman de Tristan » par Béroul et un anonyme..., Paris, 1903 (« Class. franc;, moy. âge »), introduction, p. vin.

24. Cf. p. 46-48, où M. Vàrvaro cite et commente les vers 1000/04, 3I92/9, 1918/20, 2822/4. Voir aussi les p. 148-151. — On dirait parfois que pour Béroul la « félonie » est un monstre à trois têtes toujours renaissantes. Cette forme d'imagination quasi mythique, ou épico-mythique, peut expliquer aussi que tel « félon » qu'on croyait mort et bien mort reparaisse et soit destiné de nouveau à une fin vengeresse. Sans compter, plaisanterie à part, que Béroul tuerait plutôt deux fois qu'une un ennemi des amants.

25. Muret, op. cit., p. vii-viii.

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