, 8°, 399 pp.
F.C. Copleston prend « philosophie » et « moyen âge » dans un sens étendu. Même à partir du moment où s'affirme la distinction claire entre sagesse naturelle et « doctrine sacrée », il note avec raison que « les formes embryonnaires ou primitives des sciences de la nature comptent comme disciplines philosophiques » (p. 12), à quoi l'on ajoutera que la coupure n'est jamais stricte entre une philosophie de caractère rationnel