Couverture fascicule

Alain Ollivier. — Otton III, empereur de l'an mille

[compte-rendu]

doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 81

, 8°, 454 pp., h. t., carte, tabl. généal.

On s'en veut de rendre compte aujourd'hui seulement de cet ouvrage, remarquablement imprimé par les éditions « Rencontre », agrémenté de quelques hors-texte heureusement choisis (enluminures et autres œuvres d'art, monuments, paysages) évocateurs du climat dans lequel vécut le héros du livre.

En un temps où les biographies historiques ne sont plus guère de mode (pour avoir été galvaudées, vers les années 30, par l'abus des « vies romancées »), il y a mérite singulier à vouloir en bâtir une, et je ne saurais trop me réjouir de voir A. Ollivier s'être employé à brosser, avec tant de soin, avec l'attention minutieuse d'un ciseleur amoureux de son métier, la figure grandiose d'Otton III, ainsi que le milieu que connut ce jeune et infortuné souverain.

Après une large introduction historique d'une quarantaine de pages, douze chapitres développent cette existence en en suivant pas à pas le déroulement chronologique. Nul moyen, au reste, de procéder ici d'autre façon. Cependant certains lecteurs, surtout les non-initiés, risquent de se sentir déconcertés par un procédé qui imite les Jahrbiicher de Mathilde Uhlirz. L'avance pas à pas, semaine après semaine, au gré des circonvo-

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw