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Les dépôts du Quaternaire ancien

[article]

Année 1974 11-3-4 pp. 129-135
Fait partie d'un numéro thématique : Quaternaire et préhistoire de la Somme et de la Basse Seine
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Les dépôts du Quaternaire ancien

par F. BOURDIER et J.P. LAUTRIDOU

RESUME

ABSTRACT

I. - La haute Normandie

(J.P. Lautridou)

La connaissance du Quaternaire ancien de Haute Normandie s'inscrit, pour les formations non fluviatiles et non marines, dans le cadre de l'échelle lithostrati- graphique du Pleistocene normand. On peut distinguer d'abord le Pleistocene supérieur constitué par la dernière période froide WUrm-Weichsel qui constitue le modèle pour les cycles plus anciens. Les séquences normande (Goderville, Saint -Romain) et séquanienne (Saint-Pierre-les-Elbeuf) (*) sont bien établies, avec en particulier la grande coupure médiane du niveau de Kesselt. Les loess wùrmiens sont caractérisés par l'importance de l'association épidote — amphibole — grenat (peu abondant) et de la montmorillonite associée à la kaolinite et à l'illite.

(*) Voir infra les notes sur Goderville, Saint-Pierre-les- Elbeuf.

La partie supérieure du Pleistocene moyen est définie à Saint-Pierre-les-Elbeuf (*) avec trois loess anciens couronnés par trois sols bruns lessivés Elbeufl (Riss- Wurm), II et III de développement et de couleur (7,5 YR) un peu plus marqués que dans le cas du sol holocène. Les cycles éoliens sont de type normand. A Mesnil-Esnard (près de Rouen) et à Saint-Romain on retrouve dans ces loess anciens des faciès analogues à celui du niveau de Kesselt. Par contre, les minéraux lourds ubiquistes deviennent dominants et la montmorillonite un peu moins importante. Un quatrième sol lessivé Elbeuf IV, recouvert par le tuf à influences chaudes, se développe sur un limon initialement interprété comme un loess et qui semble en fait d'origine fluviatile.

Un hiatus important sépare la série d'Elbeuf et celle

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