5. A. ANDRÉADÈS. The Capital Levy in ancient Athens (Economie History, II, 1931, p. 155-Π6).
L'auteur de cette étude fort précise et intéressante voit dans Veisphora un impôt d'un caractère exceptionnel, prélevé sur le capital et frappant à la fois les biens meubles et la propriété foncière. Cet impôtne date pas du temps de Solon, mais seulement de 428/7 : jusqu'alors, Athènes avait trouvé les ressources nécessaires grâce au phoros, aux liturgies et aux contributions volontaires. Veisphora fut définitivement organisée en 378/7, avec les symtnories et le timèma pour traits principaux. Le capital réel dépassait de beaucoup le