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La violence qui s’est abattue sur le Cône Sud dans les années 1970-1980 a donné lieu à une production artistique foisonnante et ininterrompue depuis au moins quatre décennies. Cet ouvrage s’intéresse à la dimension esthétique de ces œuvres de mémoire, car la création (littérature, théâtre, chanson, cinéma, arts plastiques…) est un vecteur fondamental dans la transmission, la conservation, la construction, la déconstruction ou la recréation de ce(s) mémoire(s). L’introduction historique met en perspective les quatorze contributions de chercheurs français et étrangers. Les quatre textes écrits spécialement pour cet ouvrage par des écrivains donnent un autre regard sur ces questions qui continuent de nous interpeller.
L'Amérique latine et les décennies troublées: l'ecriture de l'histoire et ses limites
págs. 15-38
Littérature et témoloignage: le cas de Tejas Verdes : diario de un campo de concentración en Chile
págs. 39-50
págs. 51-70
págs. 71-82
Diamela Eltit et Roberto Bolaño: deux façons de dire la violence
págs. 83-96
La mémoire reconstruite dans Fuenzalida, de la Chilienne Nona Fernández: una voix de femme contre l'oubli
págs. 97-106
págs. 107-114
págs. 115-132
La métaphore, l'analogie et le récit de vie: Trois stratégies dramaturgiques pour témoigner de la dictature militaire dans le théâtre uruguayen
págs. 133-162
págs. 163-176
págs. 205-214
Lengua madre de María Teresa Andruetto: la fiction, un espace de (re)construction
págs. 215-222
págs. 223-240
págs. 241-252
Le fragment en soi: À propos de Desapariciones de Helen Zout
págs. 253-268
págs. 269-288
págs. 289-294
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