Couverture fascicule

Dimitri Conomos. — Byzantine Hymnography and Byzantine Chant, 1984

[compte-rendu]

doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 83

Dimitri Conomos. — Byzantine Hymnography and Byzantine Chant. Brookline, Hellenic Collège Pr., 1984, 8°, 50 pp.

L'ouvrage est constitué de la réunion de deux exposés. Le premier traite de l'hymnographie (p. 1-25), le second du chant (p. 2947). Pour les Byzantins, l'hymnographie était l'expression poétique de la théologie orthodoxe dont elle reflétait les idées et les doctrines. L'hymnographie chrétienne remonte au temps du Christ lui-même et de ses disciples. Toutefois, il faut attendre saint Romain le Mélode (vr s.), saint André de Crète (vir-vnF s.) et saint Jean Damascène (vnr s.) pour que l'hymnographie s'impose véritablement. Elle fut, dès lors, un élément essentiel de la liturgie byzantine, proclamant la victoire de l'orthodoxie et le triomphe de l'Église et de l'Empire.

L'hymnographie se compose de trois principales formes poétiques : le tropaire, le kontakion et le canon que l'A. définit brièvement et clairement à l'aide d'exemples cités en grec et traduits en anglais.

Dans le second exposé, l'A. fait l'histoire des notations musicales, présente le système des huit tons et répond à une série de questions concernant le chant liturgique pendant la haute époque byzantine en s'appuyant sur l'exemple du trisagion.

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw